On a tou-te-s en tête une organisation, un groupe ouun projet qui s’est effondré à cause d’un conflit. Dans les communautés Noire souvent l’argument- qui est en passant negrophobe – est que notre problème principale est que l’on ne pourrait rien faire ensemble ou qu’il n’y a pas de soutien. La vie d’une organisation, comme tout groupe, est traversé de rapport de pouvoirs, plus ou moins explicites mais aussi de conflits voir de violence. En tant qu’afrofeministe la question des conflits et de la violence est une question centrale lorsqu’on pense aux places et la sécurité des femmes Noires dans les mouvement noirs
Pour parler de la résolution de conflit, je reçois une compatriote diabolique haïtienne, Nathela Batraville
Nathalie est professeure adjointe en études féministes à l’Université Concordia. Ses travaux portent sur l’afroféminisme, l’abolition de la prison, les théories décoloniales et queers, et les productions culturelles de l’Atlantique noir
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Chargée de production : Douce Dibondo